Puisque le verbe domine (plus qu’il n’explique), aussi bien du point de vue législatif que politique (comme dans tous les autres domaines d’ailleurs...), chaque mot a son importance. Le ministre de la santé Philippe Douste-Blazy, et avant lui les membres de la mission parlementaire sur l’euthanasie, le savent bien... Et plutôt que de proposer une modification des textes de loi dans le but de créer un droit à l’euthanasie, ils préfèrent parler de « laisser mourir »... L’un était pour, l’autre était contre, l’immobilisme a gagné les deux...lire l'article